Etats-Unis, 1948. Jack Kerouac emploi pour la première fois le terme de « Beat Generation » pour décrire son cercle d’amis au romancier John Holmes. Ces amis se connaissent depuis le début de la 2de guerre mondiale. La « Beat Generation » ou génération perdue… c’est ainsi que le terme de « beat » était interprété.
Jack Kerouac, Allen Ginsberg, William Burroughs… Tous écrivains ou artistes s’engagent dans un mouvement contre la guerre, pour la liberté sexuelle et artistique et nourrissent par leurs prémices les mouvements futurs qui se développeront et remettront directement en cause le conformisme de nos sociétés.
Epris de grands espaces et de nature. Témoignant d’une spiritualité chamanique. Considérant que l’Homme fait partie intégrante du Cosmos… Telles sont les graines posées par cette génération si fertile et pour autant peu connue mais pour laquelle nous devrions être reconnaissant car nous en sommes les héritiers…
Cette exposition leur est consacrée…
Beat Generation, Centre Pompidou, Paris, août 2016