Voilà… Bâle doucement se révèle et ne peut plus se cacher… Au-delà de la nuit on ne peut plus la quitter car elle nous aura révélé qui elle était finalement… Ce fût long… pénible parfois… Mais les promesses étaient belles. Parce que la journée fût chaude sous les 35°c malgré la proximité du Rhin auquel je n’ai pu goûter. Les premiers instants à découvrir ses musées, son architecture… Puis ses habitants et ses premières lumières… Jusqu’à ce moment où la lune apporta sa touche… Bâle, finalement je t’aime et ces souvenirs d’enfance sont loin… très loin…
Bâle, 20 juillet 2016